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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 22:43

Dreamland, un monde si grand que nul ne connaît ses limites ?

Non, pas le manga !


Les rêves qu’ils soient dirigés, sublimés, pré-rêvés , préréglés,…


Quel sublime pouvoir qu’a celui qui devient un contrôleur de rêve.

-le pré rêve, celui qui se passe dans l’instant charnière entre l’éveil et le sommeil, dans le noir et les yeux clos, où le conscient dirige les visions, mais nécessite de la concentration, de l’imagination, d’une mémoire visuelle et d’un esprit de synthèse


Mais avant tout, pour le vrai pouvoir, qui n’est guère souvent découvert. Celui que l’on peut acquérir aux débuts de l’adolescence a malheureusement une limite ! Il peut être perdu, en cause : le manque de sommeil, l’insomnie, le passage à l’âge adulte.


Ce pouvoir, celui du contrôleur étant en ordre d’importance le pré – réglé. Venant directement du pré rêvé


Mais le grand, le merveilleux et sans autres limites que votre imagination. Une puissante qu’il serait trop dangereux de posséder dans le reelworl, le rêve sublimé.


Vous vous rendez compte que vous rêvé et apparaît alors l’éveil (non pas le réveil)

Au lieu de s’écrouler comme un château de carte, le monde onirique devient alors le meilleur des cinémas, où une monde d’où vous êtes le maître.


Se pouvoir, dépendant du rêveur. Vous permet d’empêcher les cauchemars, (téléportation : pas de moi, moi je me disais juste : putain que c’est nul, et au lieu de continuer à courir, la sueur froide sur la nuque j’allais m’asseoir et si je m’ennuyait trop je transformait le monde selon mes envie et mes exigence, mon subconscient y ajoutant ce que la journée m’avait offert et recréant ou créant de toute pièce certaines sensation, le décors la partie aléatoire de l’intrigue.


Voler (piu piu), voler (la banque), être riche, avoir une belle baraque, voyager, posséder toute sorte de pouvoir, avoir un idéal féminin (voir plus) avec vous, trucidé de façon violente et immorale vos pires ennemi (mes profs, ce qui vous permet de tenir beaucoup mieux les interminable heures de cours et que Freud aie se faire foutre), vivre des aventure, voir un spectacle tel que vous avez toujours voir à l’écran, refaire une histoire ou un film tel que vous auriez voulu qu’il se passe, être un des personnage, être le premier à, faire votre activité favorite, continuer à jouer à un jeu, séduire sans peur, réussir,… bref quoique ce soit qu’il vous plaît sans à subir les conséquences que ça aurait dans le monde réel


J’ai (quasi) perdu se pouvoir avec le temps, en passant au études supérieure (bachelier)

Au fur et à mesure que je vieillissait mon pouvoir c’est effrité avec le manque de sommeil et surtout le manque de rêve, qui lui ne pouvait être décidé, seulement contrôlé. Me poussant à toujours veillé plus tard.


Alors une bonne choses, lisez des livres tant que vous être pré pubère et adolescent, faites-vous une réserve d’imagination et PRENEZ LE CONTRÔLE. Détruisez ainsi toute vos animosités créées par vos stressantes journées. Sur 5 ans je dois avoir fait plus de 300 rêves sublimés, 1000 dirigés et un bon million de pré – rêvé et c’est le dernier qu’il me reste vraiment. DBBC



(par contre j'adore (du genre à aller jusqu'à Liège rien que pour acheter le nouveau, moi qui me montre si souvent casanier) aussi le manga dont je parle à la ligne 2)

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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 22:33
 

C’est parce que la raison nous fait perdre nos rêves que nous la perdons aussi

 

Je me révolte donc je suis (unique)

 

La Tragédie, c’est ce que je vis

La Comédie, c’est ce que je suis

 

Quand je ne dirais plus de conneries c’est que je ne dirais plus rien

 

Que sommes-nous ? Que voulons-nous ? Que faisons-nous pour y parvenir ?

 

Il faut que vieillesse se tasse

 

Il n’est pire ennui que celui qui ne peut être partagé

 

Ce monde est rempli de cons, heureusement que je ne me considère pas de ce monde

 

C’est n’est pas parce que je vous méprise que je ne reconnais pas vos qualités mais parce que vous n’en avez pas !

 

Et M. ! (oui c’est tout)

 

-Que ceux qui pensent que leur avenir est devant eux saute du précipice.

 

Ne pas s’intéresser suffisamment aux conséquences est l’un des plus gros défaut de l’Homme, ainsi que d’avoir une vision à long terme qui ne dépasse pas 20 ans

 

Il beaucoup plus difficile de se débarrasser de l’ennui que de perdre sa gaieté

 

Vaut mieux la gifle d’une femme que la caresse d’un homme

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26 mars 2009 4 26 /03 /mars /2009 22:16
 

S.O.S.


Waterloo, Waterloo morne plaine…

Mon esprit est mort, mort est mon esprit, rien, nada, peau d’zob, des nèfles, le néant absolu, rien de rien (je ne regrette rien ♫),…

Pourquoi le vide intersidéral c’est-il installé entre mes deux oreilles, que m’est-il arrivé ?


Serais-ce dû à un abrutissement, et s’il n’est pas voulu, du moins provoqué aux niveaux les plus hauts. Non ! Pensez-vous ? Pour le « voulu » je ne peux rien prouver, bref…

Donc j’abandonne, mais la lassitude qui envenime notre existence n’est pas le fait seul de l’adolescence comme « ils » disent* (même si nous sommes « normalement sensés » être plus conscient des tares de cette « société » à laquelle on peut facilement se permettre d’ajouter une multitude d’insultes se rapportant au manque de moral…).

*Preuve ça continue après mais on n’est plus montré du doigt.


L’ennui profond, le manque de convictions, de volonté, de projets, de moyens et de facilités pour les réaliser, d’idéaux, de franchise,...

La plaie de l’humanité est sa bêtise et son manque de lucidité, mais ce qui la garde ouverte sont : les castes dirigeantes.


Mon imagination a été détruite, immolée sur le bûcher des « vérités », pulvérisée par des années de dissection par le raisonnement. Étriquée dans un monde castrateur, elle s’envola plus loin et plus vite que les nuages de pollution que notre espèce produit, l’explication de mon monde chimérique, la rhétorique épuisante et d’autre contrainte éreintantes en on partiellement eu raison


L’homme peut vivre de chanson, d’histoires, d’air pur et d’eau fraîche. Cependant, c’est un éternel insatisfait, tant mieux…ou tant pis, mais il ne peut s’empêcher d’aller contre sa propre nature, au lieu d’être un libre penseur, il devient une bête mécontente certes, mais ouf, soumise à d’autres de ses semblables, heureusement que le monde est si bien fait !


Le creux, l’espace vide qui autrefois (en des temps anciens) étaient rempli de mon, mes mondes imaginaire est aujourd’hui rempli d’amertume qu’est la réalité de l’univers dans lequel je vis, je vieillis, je meurt, je pourris,…


Au moins, on est moins bête quand on sait qu’on l’est


Gardons espoir mes bien chers frères, mes bien en chair sœurs car on ne resteras des cons que jusqu’à l’heure de notre mort (prochaine, je vous l’assure, je vous rassure). Laisse-nous foutre des pains à ceux qui ont osé nous offenser et pardonnons-nous en comme à eux

B.B.

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16 mars 2009 1 16 /03 /mars /2009 19:04

 Chaque jour nous méritons notre pain quotidien,

Today's
3/3/09
C’est parce que la raison nous fait perdre nos rêves que nous la perdons aussi

DIEU est une femme

Bien qu’il ait tord, il a toujours le dernier mot.

L’Homme est-il capable d’aimer ?

Je suis optimiste, je pense que oui

L’Homme peut-il haïr ?

Je suis réaliste, oui

B.B.


 

4/3/09
Vous m’avez donné le titre de « Roi des Cons », ce qui est faux, car avec un tel territoire, je suis Empereur



10/3/09
 

Dans le doute ! Va dormir, comme on dit la nuit est porteuse de conseils.

-Et ça marche

- je ne sais pas mais moi je suis toujours en pleine forme.

 

 

On ne vit pas ! jour après jours nous tentons d’améliorer notre survie !


 

Aide toi et le ciel t’aiderais : comme quoi, quoi que tu chies tu devras t’en démerder seul.


Dieu créa l’Homme puis la Femme, au début il avait plus d’idées pratique que artistique !


Dieu créa l’Homme à son image, l’homme rate tout ce qu’il entreprend


 

Restez chez soi est le meilleur moyen de s’emmerder, voyager est la meilleure façons d’avoir des emmerdes



 18/3/09

DIEU est une femme

Bien qu'il ait tord, il a toujours le dernier mot !

Ne vaut-il pas mieux d'être émerveillé pour un rien
que d'être blasé par tout ?


23/3/09
 

Que sommes-nous ? Que voulons-nous ? Que faisons-nous pour y parvenir ?


 

 

Vaut mieux la gifle d’une femme que la caresse d’un homme


31/3/09

 

Quand tu ne sais plus qui tu es, vas chercher ton passé et fais en ton présent... ensuite le futur surgira devant toi...

Bacchus est mon Dieu
et Ivresse est ma reine !

on n'a pas toujour le choix et pourtant on nous les reprochent

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16 mars 2009 1 16 /03 /mars /2009 18:22

L’application d’une idée

 

Une idée ne peut être appliquée à moins qu’elle ne réponde à ces conditions

Situation a)

-Elle a un sens et un but

-On a peser le pour et le contre (et c’est le pour qui gagne)

-Elle a mûrement réfléchie

-On a réfléchi à sa mise en œuvre

-Une fois les conditions de la mise en œuvre étudiée, il faudra étudier les effets provoquer par son application en pratique

-Avoir trouvé une solution aux problèmes soulevés par son application et il sera beaucoup mieux que cela soit fait au préalable

-Faire un suivi des impacts

 

Situation b)

-Elle a un sens et un but

-Choisir un schéma prédéfinit par a) ou prendre un schéma en raisonnement tertiaire (secondaire minimum) : qu’est-ce que je fais pour répondre au problème, n’y aura-t-il pas de problème plus grand, comment éviter les désagrément s’il y a des ennuis significatifs

-Elle soit une mesure d’extrême urgence prise afin d’éviter un mal encore plus grands

-Une fois fait, repasser en situation a « in situ »

 

Ces 2 systèmes différents permettent d’éviter beaucoup d’erreur, en éliminant l’utilisation d’une technique dont la demande est peu pressante ou non « vitale ». L’autre dite de « sauvetage » correspond à la définition « d’extrême urgence », mais ensuite il faudra tout étudier au crible, mais plus sur le terrain ce qui permet un suivit et des estimation probable du futur, des corrections possible,…

B.B.


Maintenant je me demande si je n'aurais pas dû aussi la mettre dans la catégorie enviro? mais sa place est ici, je pense...

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16 mars 2009 1 16 /03 /mars /2009 18:16

LA GENESE : un petit résumé qui n’engage que moi

 

Lorsque Dieu créa l’homme, après maintes bourdes, il lui dit : « Tu vas souffrir. » et l’homme, effectivement, n’eu pas la vie très facile.

Un jour, l’Homme se rendit compte qu’il s’ennuyait seul (vous savez comme ça arrive facilement). Il demanda l’aide de Dieu et Dieu fit la Femme. Il lui dit : « Tu vas souffrir. »

La Femme fit vite remarquer à l’homme qu’il était bête et ennuyeux, en plus d’être un sacré trouillard (savez comme elles sont), et l’Homme se vexa (savez comme ils sont). Ils décidèrent alors de manger la pomme (le fruit de l’arbre de la connaissance et évidemment, au lieu de l’avaler, elle se bloqua dans la gorge de l’homme, ce qui prouve bien…)

Dieu pas content, les condamna à sortir d’Eden et leur dit :

-Maintenant, vous êtes mortels et vous allez souffrir. 

-on sait !

-oui, mais grav’ cette fois

L’Homme demanda : « Et quand ne souffrirai-je plus ? »

-Je viens de dire que maintenant vous étiez mortels !

 

Et depuis on n’a fait que s’enfoncer chaque fois que quelqu’un s’ennuyait

B.B


 

Maso ?

 

Pourquoi veut-on toujours faire les choses qui nous plaisent les moins ?

L’homme est un gros maso, eh oui, preuve : on fait des économies au lieu de s’offrir ce qu’on désire, à l’école on prend des matières difficiles pour avoir un bon métier plus tard. Et donc en foutre moins plus tard.

On a mis le doigt dessus. Voici la règle de notre vie : en faire le plus aujourd’hui pour en faire moins demain.

Seulement, ben demain, c’est le jour avant après-demain, alors on veut tout faire. Et quand, enfin on a plus grand-chose à faire, on est à la pension (ou on a eu une crise cardiaque à force de s’esquinter la santé à bosser) et là vu notre état (physique) vous ne savez plus profiter pleinement de votre temps libre.

Eh oui, cons que vous êtes, vous avez trimé comme des dingues sans en profiter (de la vie)

Benoît Bernard

 

Les gens cherchent à faire diminuer leur malheur au lieu d’essayer d’augmenter leur bonheur

Bernard Werber

 


Je me révolte, donc je suis

 

Car mes prises de positions, mes indignations caractérisent ma personnalité, ce que je suis.

Je me définis en tant qu’être unique, mais pouvant partager les mêmes idéaux que d’autres.

Ce sont mes idées personnelles et non pas celles qui me sont imposées qui définissent mon mode de pensée, de vivre.

Je défends mon point de vue sans avoir peur de déplaire, sans avoir peur de me confronter aux jugements d’autrui.

 

Sans révolte, aucune liberté d’esprit ne s’installe et on n’existe pas vraiment (Je pense, donc je suis)

Ex : C’est à l’adolescence qu’on remarque ce qui ne va pas, ce qui nous gêne, et c’est à ce moment là que se construit notre individualité, et sans « Révolution » rien ne change, tout stagne.

 

Sans aucune idée propre, on n’a aucune raison de vivre. Chacun cherche sa voie.

Suivre le « troupeau », sans avoir un esprit critique, est une preuve de lâcheté, on ne doit suivre les autres que s’ils ont des points de vue semblable aux nôtres, sans rejeter ceux qui ne sont pas d’accord avec nous (mais en oeuvrant pour le dialogue).

 

« Aucune majorité ne peut s’arroger la toute puissance et imposer sa loi à l’ensemble de la population » Le Nouvel Observateur 16/1/92

 

Ce n’est pas parc que la majorité des gens pensent la même chose, que les autres ont forcément tort ou n’ont pas le droit de s’exprimer.

 

La révolte, c’est en partie, le droit de ne pas être d’accord, d’exister de par mes opinions personnelles

B.B.

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16 mars 2009 1 16 /03 /mars /2009 18:12

HASTA SIEMPRE...

(Petit résumé)

 

Ernesto Guevara, Argentin, né en 1928. Cet homme se destina d’abord à la médecine (spécialiste des allergies : il était lui-même atteint d’asthme)

 puis lors d’une traversée de l’Amérique Latine (7 mois), il découvre les injustices et l’exploitation de la classe ouvrière amérindienne par les Nord Américains. (il travailla plusieurs fois dans des léproseries)

  

  Ernesto plus communément appelé Che Guevara prend conscience de « L’impérialisme » (Américain) et de « la Théorie de Dépendance »

La théorie exprimant le fait que les pays les plus fortunés s’enrichissent au détriment des pays pauvres, pauvreté due à un échange inégal.

« L’impérialisme » signifie une tendance à conquérir et diriger d’autres pays (dans tous les domaines, par ordre : économique, politique, société, armée, culture,….)

 

 Après ses études, lors d’un deuxième voyage, il va rencontrer (au Guatemala en1955) un Cubain. Ancien avocat, il prit la tête de l’opposition face au dictateur : Batista (qui n’est qu’une marionnette des USA).  Cuba, dont les terres et les richesses appartiennent aux Américains (90% des mines + acheteur de la principales exploitation de l’île : la canne à sucre). Le peuple y souffre de la misère (et aussi de la dictature).

Cet homme de son prénom Fidel (et deux personnes importantes le Che et son frère Raoul Castro) préparèrent un coup d’éclat.          

                                                                       

 1956 : près de Manzanillo (sud ouest de Cuba)

Un bateau (prévu pour 25 personnes mais contenant 80 guérilleros) échoua le 2/12 (après 7 jours et pas à l’endroit prévu).

 

 Les guérilleros devront lutter contre la faim et aussi à plusieurs reprises contre l’armée gouvernementale (ils ne furent plus que 20 le 1/1/57 mais les rangs grossirent avec l’afflux de rebelles). 

 

 Le Che (qui signifie « moi ») soignait les soldats, ouvrit une infirmerie (gratuite), une école pour les guérilleros (lire, écrire,…), une radio (Cubano Libre), un journal,…

Et était en même sur le terrain…

 

 Fin 1958 mu par plusieurs victoires successives, ils prennent Santa Clara (un peu à l’est de La Havane) 64 guérilleros face à 4000 soldats, comment ? Grâce aux citoyens combattant.

Le 2/1/59 La Havane est prise, mais ce n’est pas terminé.

 Autres problèmes

 Où acheter des armes, où vendre le sucre ?

 

 61 Un peu plus de 1500 guerriers contre-révolutionnaires (exilés au U.S.A., soutenu et armé par ceux-ci) Préparent un attentat et cela donna l’attaque de la baie des cochons, où une fois encore…le peuple armé vaincu l’ennemi.

Quelques temps plus tard, l’embargo commercial de Cuba força Guevara à sortir de sa réserve pour demander de l’aide à l’URSS.

 

 Tout repris mais il y eu petit « incident » les USA demandèrent à l’URSS de retiré leur missiles de Cuba.    

                               

 Ravivant d’avantage les tensions entre les 2 blocs, la « Crise de Cuba   se conclu par le retrait des missile ricains en Turquie et le retrait des ogives russes à Cuba. (alors qu’elle aurait pu déclencher une 3ème guerre mondiale)

 

 1967, alors qu’il préparait une révolution en Bolivie, le Che fut trahi par le secrétaire du parti communiste du pays (soutenu par l’URSS). Il fut assassiné le 9/10/67 par la CIA.

 

(désolé pour le style)         B.B.

 

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